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Nom du blog :
pierrejacques811
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Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
26.03.2011
Dernière mise à jour :
02.03.2016

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Mes minets

Publié le 02/03/2016 à 02:48 par pierrejacques811 Tags : chat mort enfant

VERS

Publié le 29/02/2016 à 22:33 par pierrejacques811 Tags : islam moi monde background homme chez mer amis mort dieu bande neige chiens
VERS

Le long de la rivière de la rêverie

vers la mer,

de l'hôtel de ville du maire

à la maison de la Mère

Divine, je bien vois

comment la cloche de Gauss

sonne sur ses hanches,

que la bande de Mœbius

c’est infinie par octaves sur son buste.

Je chante

pour elle par l'intermédiaire des phonèmes gutturaux, et elle me répond par la force de l'e muet.

Je veux la palper aussi parfaitement que les aveugles, je veux la caresser aussi intensément que le feu!

Après le lavabo rituel des mains,

les elévès des sirénes,

assises sur des chaises-escabeaux,

elles font la catéchèse des manuscripts

(placés sur des tables gigognes et aux abbatants),

là-dessous à la lavogne où les camions-toupies

ne sont pas toupies mais des balleines!

Oùmoi,Le Bricoleur,  je me laisse aller,

Monseigneur Le Bâtre s'écrie:

-Il neige vers le nord.

Feu, naître, mourir de rire étant  les fenêtres de l'âme,

ses ouvertes blessures,

des caves et du sous-sol proches de la quille,

des vieilles mémoires que la douleur maquille...

(leurs volés à toute volée!),

je regarde par la fenêtre

des longs bâtiments blanchâtres,rénovés

(le temps y ronge sans frein en sourdine)

flottant sur l'herbe de la cité.

Les vois-tu?

Mille feuilles sont nécéssaires pour les écrire!

Il y a tellement des crimes en famille (93%)

que je m'étonne d'être toujours vivant;  autant de chaleur humaine qu'un four crêmatoire!

Madame Helen Knothe s'écrie:

-Les hommes sont des îles et leurs chiens sont des presqu'îles.

Sur le monde  miné un minet miaule.

Monseigneur Le Bâtre s'écrie:

-Le nazaréen hyperboréen  neigeote boréalement.

Je vérifie, par

le vasistas que l'oculiste

m'a donné,

comment, désopilée par

la naissance, la flambée défunte qu'y vient

d'éclore

s’envole

de la cave, de l'immeuble naissant de la bâtisse archaïque:

mille encarts sont nécéssaires pour la décrire!

Et il y a tellement des complots en famille (911),

que j'en  suis médusé d'être encore pas mort;

autant de chaleur humaine que...  

dans un hypocauste!

Madame Helen Knothe s'écrie:

-Les mecs mortels et hominiens sont un archipel,

et leurs molosses sont des  avancées, des isthmes.

Dans l'étambot

que l'on calfatasse d'hièble immarcescible,

la chatte Foufoune du génovéfain Christophe Colomb ronronne

et elle se recroqueville, tremble,  s'éparpille

Où je peux voir à travers le secret des secrets de l'univers?

Je veux dire,

Quelle est la raison pour laquelle quelque chose doit exister,

et comment je peux forcer tout ce qui est bon ne se reproduira plus? Nous, les prédateurs, ou des êtres intelligents,

poursuivre la proie à apporter -

A force de l'esprit ou de la colère;

mais ladite victime de notre recherche révèle le sens et les barreaux de sa cage en sont les maîtres mots.

Pourquoi l'entropie et l'exubérance?

Pourquoi l'or n'a jamais quitté les alambics

des alchimistes?

Quelle est la raison qui l'Alhambra est magnifique

bien qu'il soit islamique,

si toutes les choses liées à l'islam

sont censés être désagréable?

Pourquoi les momies de l'Egypte sont grotesques,

Bien que leurs chambres pyramidales sont minces?

Pourquoi les humains se sont retrouvés dans la fosse?

Pourquoi les fossiles du Cambrian

doivent se terminer  dans de l'ambre indécente,

et nous le ferons par le moyen d'une bombe à fission?

Pourquoi le fils fusibles, même s’ils sont en aluminium,

veulent se fondre

comme

l'alun?

ll doit être intéressant de se rapporter à d'autres sachant qu'ils sontDieu, mais ils ne le savent pas, et vous ne pouvez pas leur dire parce que le jeu doit continuer. En fait, je l'ai fait un il y a quelques jours, chez un groupe d'hommes qui se rencontrent pour examiner certaines des tendances sociales diverses, et qui est appelé Les Amis du Temps. C'était exaltant et pourtant si naturel! Et il y avait aussi à considérer mes tendences personnelles interférant.Même dans la Bible, comme c'est le cas avec David et Urie, le Seigneur permet de remplir la souffrance de l'homme juste et puis il passe à punir, ce qui est de visiter plus de souffrances à l'humanité. Aussi, il nous a créés capables de parler, et pourtant, par nécessité, nous employons ce don principalement dans le petit entretien avant de mourir bientôt. Même la philosophie est babillage, car elle peut toujours être contredite

BAFOUILLE... À PLUTE!

BAFOUILLE... À PLUTE!

Le véritable amour est exigeant, égoïste, cruel, plus grand que nature, inébranlable par la mort”. -Rushdie.

 

“Quand vous regardez combien les yeux de la mort sont vertigineux et clairs, vous dites la vérité, des sévices affectueuses”. -Cernuda.

 

"Je parle plus de l'amour ni de la mort dans aucune maison". -Whitman.

 

 

 

Écoutez! De Rais, Jacques, je suis né, après les fêtes, dans un village au sol vermeil et ayant sept routes qu'y sortaient, et lequel l'on va appeler ici Châteauroux (as-tu jamais visité les objets d'antan qu'y sont au parc Balsan?). En face de ma cambuse il y avait une pelouse gigantesque aux clopinettes, et là j'ai vu les fées pour la première fois, en suivant les instructions d'un CD subliminal (pour voir en gosse, en des photos Lomo, il ne faut penser, mais se fixer sur les couleurs, car le monde astral est celui de la couleur, dit Heindel le rosicrucien, et, en plus, lorsqu'on grandit, son observation devient rigide et floue à cause de la pensée. En outre, l'entropie tourne toute la beauté des constructions humaines dans des villes fantômes -elles sont la pensée humaine materialisée! Il viendra en aide aussi de visualiser n'importe quoi à l'exterieur pour, après, regarder le monde à la Wordsworth, où la lueur visionnaire est partie, où la gloire et le rêve sont).

Alors, l'on m'a bien reçu dans une autre ville très suave, d’atmosphère, atmosphère ... bizarre! (ai-je ditbizarre?)  que l'on appelera Lorient (pas Carnoules, cependant!) dont, tout autour de nous, nous pouvions entendre les bruits sarrasins de Bretagne: des arbres bruissant, -runes, Allan Kardec!; et leGwenn Ha Du battant (l'on y va en train, ou roulant la bosse, d'abord à Marseille; mais notre bahut, une véritable bagnole, prit, parmi des camptars, mais oui, des tentes-caravanes et des camions-toupies dont les pilotes passaient le temps dans leurs voitures aux feux de circulation insérant la pointe de leurs petits doigts dans leur cavité auriculaire alors qu'ils gardaient les autres doigts crispés et le coude bien sur le côté et disant: -C’est le bordel!, et, telles que la nôtre, d’autres caisses à savon revitalisant capillaire à l’impériale et aux tronçons rigides avant et arrière, et aux galets tendeurs et aux fichiers rotatifs,en carambolage au rond-point, dès l'avenue de Blois, sur la départementale D956, sa première sortie en bretelle, même en pieuvre; et nous fûmes, ainsi, sans des baudriers à ardillons mais avec des sacoches et des sangles d’amortissement, toutefois arrivés d'abord à Paris, où la tante habitait, selon l’enseigne directionnelle, sur le Boul’ Montera, 811ter, lequel est coupé en son milieu par la ligne ferroviaire dite de la Petite Ceinture où les wagons intermodaux croissent, portant la fanfare et le coq, ainsi que l’Opération Pièces Jaunes, cette salle des pas perdus pas si differente de notre propre ruelle, vert et paisible, sans des clous, dite Pierre Loti: mon apparte était allumée bleu à la porte de grille et rougeâtre à la fenêtre supérieure; la sienne, peinte en gris à l'étage principal et brun sur le dessus, et non dans le 93, la Seine Saint Denis, qu’elle n’aime pas La Terreur, mais un HLM dans l’univers pavillonnaire).

En attendant, la commune aux tours de pierre qui fut la capitale des Celtes, il est dans mon monde onirique un symbole de ma raison.

Une autre arrondissement à bitumen, aux tours d’habitation en coproprieté redoutables dès les pilotis jusqu’à les consoles du faiteau, à proximité de mon lieu de naissance, celle-là maison jumelée à Baisante Île En Bastringe, revient dans mes rêves pour représenter ce que les chamans appellentla pègre spirituelle où les choses sont fixes(on voit toujours ici les ombres de Fouquet et de Porthos!).

Que j'étais maudit 13 berges (même 10 balais ou 8 carats) en Châteauroux!: par exemple, un premier mercredi du mois à midi, lorsque les sirènes hurlaient, puisqu’il nous fallait prendre un bon bol d’air ce jour sans classes, j'y ai invité un condisciple de bourlinguer dans ma bac à sable, ma roche mère, mon mycélium, ma semelle intercalaire, ma dormeuse de croissance, dans une ruine d’antifle (sans des camelotes, néanmoins!) deux salles profonde, couverte de verdure, mon dos vers une fenêtre plus petite qu'une porte (un cas d’enfoncement d’une porte ouverte), après j'ai ramassé sans aucun effort le seuil à lanières et je l'ai déplacé au sein de la mansarde, voire, sur l’abattant rallonge de certaines tables gigognes qu’y étaient, pour me reposer là-dessus comme sur un polochon de fauteuil-sac. J'ai regardé et psicometrisé les décombres dans tous les azimuts avec grand plaisir parce qu'ils étaient classiques. Or, quel ralbol!, une alouette condée des contredanses (pas, sûrement, aux peloteurs de grand-mèredu bastringue!), è nous a menacé de son bite à Jean-Pierre (sa matraque télescopique) et d’un coup de balai par le concepige et les bourres et tout le syndic: -Gare à vos fesses!, mais nous n'étions pas bandés moux! Plutôt, nous ‘ui avons vociféré (mais pas conspuant contre les Compagnies Républicaines De Sécurité): -Pique-fesses du parquet! Madame pipi des polices parallèles! Nous aimons le 18 mieux que toi! Vais voir ton gynéco!, tout en jouant, pas pour quatre chemins, des fourchettes en cavale (mais nos la coulant douce comme une fleur dans nos baskets!), nous nous sommes allés aux égouts sur nos bécanes même, et, moi,... sans aucun bol sur le bocal ni non plus aucune jupe de masque (sauf un baladeur à pavé numérique et le biseau de mon tuyau d’insufflation). Bon, iz’ disent que les fauves féraux peuvent nous faire sentir faire dans nos frocs; et, bien-sûr, les intimidateurs comptent sur le faire: iz’ trouvent que ceci c’est tellement savoureux! Alors, je me suis entendu charrier de cette façon-ci mon copain-copain comme cochons (j'avais besoin d'un auditoire): -Chicos! Je suis Jean Valjean et tu es Marius: j’en suis formel! Mais, en me regardant avec des yeux de merlan, il m’a coupé la chique: -Quel culot tu as, archicolibri! Je suis pas de tout un vampire d’Anne Rice!

-Colibri? Que tu es cintré car ce que tu as dit est une sacrée couillonnade grâce à laquelle tu fais péter le chronomètre! Nous sommes amichis, nous, et vas-tu me pagetourner ainsi maintenant? Pasque, s’te plaît, souviens-toi: nous nous cassons toujours la nénette  ensemble chaque fois que nous sommes en train de chiader en bouquinant tout cela que les chieurs d’encre encore bouillonnent entre surtitres

et sous-titres cet aprèm lorsque personne ne doit employer que le bigo de poche, pas même le cornichon, n’est-ce pas? Et tu te me colles au cul chaque fois que je continue d’appuyer sur le champignon, et ainsi nous nous caltons arrimés parce que j’ai du chien, moi! Nous ne venons pas de nous introduire dans celle ruine-ci des talas catholes tels que le coincoin et Marie-Ange de la Corse, à cause de notre propre bondieuserie, ni non plus pour y choraver quelque chose, comme Jean Valjean le fit (un melon à cornes, un jaque, un durian, un ramboutan, je ne m’en souviens plus, un topinambour je crois), des chébrans dont la besogne ne consiste  que de journées dans l’aquarium, même si nos dabes sont des chômedus en pleine débine, pas des aristos, mais des SDFs, ceux exclus de la majorité pondérée! Non, mais pour coincer la bulle. Faisons ami-ami, alors, cul et chemise comme d’habitude!

-C’est le bouquet, colibri! Et quoi avons nous rêvé dans la mansarde mais que nous buvions un bébé sans bras, et que par conséquent nous rêvons des volcans de la péninsule russe éclairer la longue nuit arctique (parce que dans la taïga les arbres ne poussent qu’à l'ombre de quelques autres), et la steppe qui est un véritable océan de fleurs multicolores qui ondulent toujours dans un vent violent, et le lac bordé de montagnes remarquablement sculptées et recouvertes de pâturages, puis de cèdres, et que nous y étions des tigres mongols douze pieds de long?

-Tu débloques! J’étais un tigre à truffe, moi! Toi, tu étais un hyracoïde...

-Une girafe?

-Tu déconnes à pleins tubes! Un hyrax: un petit éléphant sans trompe (tu n’en avais aucune). Nous étions à dache (mais j’y je connaissais dans la débrouille, bien-sûr) jusqu'à ce que la flic du visage laid à chier au-dessus nous a réveillés. Alors, je t’ai averti:-Dégrouillons!, car il nous faut y débiner immédiatement; et nous-voici, décontract’.

-Pourquoi parlez-vous sans cesse d'une voix gutturale, le la du  il a émis

tandis que, dans le tunnel sombre, sa crinière bouclée monta comme celle d'un Tibétain. Or, il était notoirement friands de sa propre voix, et, par conséquent, il avait l'habitude de prononcer des déclarations; donc, il enl a ajouté: -Aussi, savez-vous ce que le tigre m'a dit quand j'étais un daman du clade des procaviidés?

-Mais non.

-Le tigre a dit que quand les cancres grandissent, ils restent en vie les mêmes geeks ballots, ces mêmes pirates informatiques, qu’ils étaient à l'externat.

Alors, j'en ai vagi. Mais laissez-moi maintenant procéder au partage mes autres réminiscences de l'enfance.Pour commencer, je suis né dans l'annus mirabilis 1956, alors que Krishnamurti tenait une rencontre avec le Dalaï Lama, et quand la nouvelle ère des cinglés a commencé. En cette année fatidique, l'Afrique et l'Eurasie se sont divisés par le canal de Suez autant que une fois le dieu Melqart fait la même chose sur l'autre coin de la mer Méditerranée, à Gibraltar. En outre, l'effondrement de l'Empire soviétique a commencé à la Hongrie l'année de ma naissance. Et le jour de ma naissance était de 22 Mars, l'équinoxe de printemps (et il est le même que le Platane dans le calendrier républicain; et il est le Bélier, et il est le singe chinois).

J'étais un nourrisson de lait de ma mère; cependant, chez nous l'aliment s'est bientôt déglingué car maman ne connaît pas comme le cuisiner ainsi qu’on l'achètait  dans un resto que papa a dégoté tout près de nous mais lequel notre cousine considérerait comme étant degueulasse (or, mon père n'était pas en bons termes avec elle parce qu'elle s'était mariée deux fois et elle avait trop de coussins dans ses pajots). Par surcroît, quand j'étais un enfant je babillait ainsi avec un cordonnier: -Vous devez lire Bergson plutôt que Foucault, Descartes, Sartre et Comte (-Vive ladifférance, dit Derrida!) Et toujours il rétorquait:-Les enfants comme vous sont censés de s'ébattre au lieu de débattre les philosophes, même Voltaire!

Alors je suis allé jouer et parler au lapin de gouttière: entre mes tempes faciales, ma voix, faible mais géniale, me décrivait pour son bien: -Ma présence est légere mais impérative, elle lui dit de moi, parce que, si je suis plutôt mince, j'ai des larges épaules et une organisation animée, simple dans ses habitudes, mais inquiète et méditante; et ma figure est franche: en effet, la mobilité de mon visage (dont la caractéristique principale, aussi grande que son intelligence, c’est sa bonté), elle t’empêche de déterminer ma taille, et, donc, parfois il semble que il y a un espace entre mes pieds et le sol, et, souvent, comme je parle, je me penche comme pour rassembler une idée à partir du plancher de l'être (car je n'ai jamais dit ni rien fait qui ne montre pas clairement que je suis en permanence sur le rocher de la vérité la plus solide!). Or, mes traits les plus frappants sont la façon dont il y a une longue distance à partir de mon front, fortement arqué, jusqu'à mes yeux; et comment mes paupières tombent à mi-chemin sur ceux-ci. En outre, sévère presque jusqu'au caractère sinistre, je suis cependant toujours habillé dans les vêtements les plus avenantes à mes années: un petit saint Jean sauf par un cache-frifri. Enfin, quand je suis fatigué par l'application de moi-même aux réflexions philosophiques, je descends pour avoir du discours de bagatelles avec ma logeuse et pour me rafraîchir... maintenant, je peux voir comment mon activité mentale devrait être considérée tellement différente par rapport à celle de ceux autour de moi, parce que je ne trouve pas beaucoup de plaisir dans les sports ordinaires du berceau, mais je préfère être seul ou en conversation avec les arbres!: un paysage de gens simples, directs, comme ceux peints par Le Nain. Et puis mon miron, qui ressemblait à une de ces études anatomiques de Le Brun sur les loups-garous, ouvrit ainsi la dégueuloir (celle aux dentiers) pour me déguster, me faire descendre en flammes: -De l'air, le der des ders! Sans aucun Dieu, soit-il le dernier carat, l'homme toujours peut se démerder, se dépatouiller tout seul, les doigts dans la nez! Deuzio, j'en te file du chouette!

Il s’appelait la Fourme Alambiquée, mon greffier/griffard/grippard, parce qu'il était un libertin erudit de même que le fils illégitime de la salonnière Claudine-Alexandrine Guérin de Tencin dont son nom. Il n'avait jamais la dorme; il ne s'allait plus au dodo; il se dépieuta. Et il m’a miaulé enfin: -Tu me fais devenir chèvre, plus minet! Dingo! Et voici que je me donne un mal de chien pour te renseigner, toi, le dur de la feuille, car je suis dur de durs, moi, un veritable dico sans rien de l’écriture de chat: donc, tu vas pousser de demi-portion, devenir un maousse dependeur d'andouilles! Donc, je m’en vais, j’ai d’autres chats à fouetter; je n’aime pas où y a pas un chat, seulement trois pelés et un tondu; je veux peigner la girafe, avant que Médord n’arrive!

-Je te dis ‘merde, alors!

Moi, je faisais aussi semblant de avoir des pourparlers avec M. Godot P... survolant le PAF, l'éther: -Je crois que la Bible est peu probante; et elle prône des idées trop solides, je lui jasais toujours. Et il me résistait habituellement ainsi:  -Elle est mon préavis. Elle ne préconise que l'amour. Elle raconte que j'ai créé d'abord Adam et Eve pacsés, paritaires; mais ils ont mangé la pomme, et cela était un véritable pari! Ils m'ont passé outre! ...cela était passible de la mort, de la peine plancher, puisqu’ils ont plafonné, de façon que je les ai mis à pied dans les prétoires, parce que suis le juge prud’homal et je voulait la sueur d’Adam s'écouler; mais, afin d'y réaliser une percée, moi et les juifs étions plus tard en partenariat (ainsi que même au-jourd'hui on les appelle des particularistes, des pieds noirs), mais ça piétinait, et j’ai plastiqué Sodome aussi. Néanmoins, parmi eux j'ai parachuté mon Fils. Alors, j'ai dit le percepteur aux paradis fiscaux, Mattieu, d'écrire une biographie très pointue de lui sur un placard pleine page. Sa mère était une parent isolée, il a raconté. Bon, grâce à cela, je finirai pour enlever un grand foule blanche aux palmarès, après la passation des pouvoirs à Lui. Ce jour-là, le paysage politique de la Terre sera-t-il tellement paisible! (Au présent elle est paupérisée par le diable pur et dur, par les rouges et par les verts).

J'imaginais les verts et les rouges y répondre ainsi dès le Québec: -La paix, M. Godot! Moi, le diable, je ne suis pas pire, par exemple. Pantoute! Même si j'aime mettre du piquant. Pis! Et toi, tu te prends pour un autre, tu es pas parlable. C’est en plein ça! Je t'en passe un papier! Et maintenant, passe-moi quelques piasses ou je vais perdre ma chemise. Les verts et les rouges? Une fois la coca du village lui dit au facho: -Pourquoi piques-tu un fard? As-tu fait toutes ces commissions, la petite et la grande, dans ton froc, toi, le cureton, ou dans tes falzars, toi, mal fagotée? Tu sens le fagot! Le facho lui répond: -Mais non, après de planquer, je ne serai pas fait, ni farci, car je vais faire des poches, piquer des faffes, moi, que vis de la fauche. Faison ami-ami: je suis fana de ton corps; j'aime tellement le faire des pattes d'araignée, d'ensuivre par une fantasie, et, enfin, de le farcir!

-La fantaisie que vous avez servi si longtemps (celle sur le soleil laissant le seuil entrouvert), est-ce qu’elle arrête vos pieds à l'envers de la carte routière? Alors, voici une histoire formide et fumante que je viens de lire dans une feuille de chou écrite sur des fifines (et ainsi foutue d’avance) par un fouille-merde: L’odyssée visuelle que mes doigts agrippèrent afin d’embellir dans les déserts leur délire chronique hyper-alerte (pas à cause des fées blanche, brune et verte qui donnent le flip, mais parce que j’ai une fissure foldingue et suis fin fiérot et un fêlé fieffé, bien que, quoique vraiment foufou et frappadingue, d’ailleurs fortiche et en conséquence faisant sans façon ma fofolle)=  Quand j'entends de la fanfare aux folkeux (son tempo étant en courroux, ses clefs furibardes, ses dièses et ses bémols fumasses et ses notes furax, elle n’a pas de quoi se fendre la gueule), ma berlue commence car alors j'ai le saisissement privé d'être tiré vers le haut par des cabrioles associatives farouches à travers une porte escamotable alors que ma trempe critique est en suspens (puisque les amateurs, devenus moins méchants ces derniers temps, ils insinuent, en sirotant une tasse de café au lait, que les fresques ont disparu, et, de cette manière consternés, ils s'aventurent sur ​​le cri: "Que ce c’est déloyale!"). Disons, le goût d'un impératif catégorique est pour moi dans ce cas quelque chose comme celui de formidable sur formidable -une conjoncture de s’imaginer une abstraction comme si elle était aussi émotionnelle que l’actrice Robson. Or, seules les plantes que la déesse Flore a créé, ou peut-être l’elfe Eferu (pas une femmelette ou même une fenêtrière d’amour en dépit de ses flotteurs, celle-ci; ni dilapidatrice ni accaparant non plus ni pas par contre béotienne, mais insupportablement révérencieuse grâce à ses obligeances de bon matin et de bonne soirée, toutes les deux gaillardes et bienséantes), ces plantes ont des substances éblouissantes dedans. Lorsqu’elle me dit que le bon Dieu change le coloris de l’aster et du poirier durant les mois de la Balance, du Scorpion et du Sagittaire, ma commotion cérébrale en va avec beaucoup de ces teintes étant entièrement nouvelles, dans des zones de l’arc en ciel que j'ai jusqu'ici négligées: les nuances de décalage dont nous tous dépendons, les allures hétéroclites sur le corps du ver gris qui se détachent de lui et flottent sans arrêt au loin, l’oriflamme du Ténébreux que pénètre dans la gorge de Mina, la tonalité rouge sang-feu des lanternes chinoises qu’éclairaient les fleurs et les papillons. Je m'écrie: -Je ferais mieux de voir maintenant les ombres aux formes!; et ledit spectre de couleur (jusqu'à maintenant il avait l'air d'une roche murale laissée trop longtemps en plein soleil) s'intensifie comme s'il était baigné dans l’éclat de la lune la plus féroce. Plus, les galbes y est manifestes alogiquement, avec des opacités et des rainures déraisonnables; et l’agencement des calembredaines fait cela par le menu microscopique… à vrai dire, avec à peine un massage mousseux sur les yeux, je vois, parce que l'illusion du champ de vision de mon troisième œil se joint de façon transparente avec l'envergure de ma vue ordinaire... Tiens!, je suis à deux endroits à la fois: je sais que je suis un navire sur le point d’être confiné à mon gîte, mais je ne le reconnais pas (l'adresse de mon domicile: numéro d’étoile, rue de la galaxie -à savoir, des pensées d’accueil que proviennent de l'étranger). Tout de même, je soulève le linteau et... je vérifie que je suis déjà à l'intérieur, dans un autre corps!  Or, je n’ai pas été un visiteur très peu fréquent ici, chez moi, vu que je habite loin de ma chambre à coucher où toutes les deux, la télé au couvent voisin (avec le son activé et l'image éteinte) et la scène de film qu’elle montre, deviennent, pendant ce dimanche, ce dimanche bienveillant, inclinées à des équerres bizarres, des hallucinations stéréo, en quatre dimensions qui sont (au lieu de la longueur, la largeur et la hauteur): des souterrains du métro ou de mygale, des torsades, des moucharabiehs et des toiles d'argyronète faites de gaze de rosée. Et bien!, chaque fois que je me suis couché ici sur mon grand lit (un berceau grand comme un Grand Danois, mais seulement si les Grands Danois étaient faits de fils de la Vierge ou d’arachnéenne), je sens que je suis haut et debout.  Il en s’agit des alentours ambigus: je suis orienté en temps et lieu; pourtant, je ne connais pas, comme d’habitude, que le centre de ce drame c'est moi. De surcroît, les objets grossissent tout en même temps qu’ils s'éloignent de moi. Le temps semble distendu de côté latéral et la sempiternité apparaît comprimée. La durée n'est plus ininterrompue ni un écoulement recherché et fuyard, sinon une kyrielle d’allégories éternelles à la fois claires seulement et, seulement, pas claires. Les ondoiements de l’univers sont (tout comme quand vous laissez tomber du silex dans le marécage) des moments de vérité émotionnelle riche: par exemple, mon léopard des neiges roule et se transforme en une souris-chienne au moment qu’une pie avec la frimousse d’arsouille s'accroupit au bord d'un affluent de diamants lequel est positionné sous-jacent à l'instant présent, et elle y rince une lippée escamotée. Ma capacité à constater les étrangers familiers (chacun d'eux auto-absorbé dans son exercice, à peine conscient de l'autrui) est sauve, mais elle n'est pas accompagnée par de la velouté soyeuse, donc j'ai conclus qu'ils ne sont que des zigues feignant être eux-mêmes. Voire, la foultitude devant moi prend l'apparence d'être de morts efeignards qui n’ont pas le feu aux fesses! Parmi eux, une autre mère des miennes (la fée du logis -en outre toutes elles ayant filé le coup de guizot, le parfait amour, avec des fleurs bleues qui n'avaient pas les figues molles et dont donc je suis le fieu à papa aussi bien que le fiston à elles, de même que mon frangin aînée et mon frérot en sont, eux aussi) arrive: elle est en partie moi-même et en partie quelqu'un d'autre; elle est prête à la mi-air  (donc, foutue comme l’as de pique, au fendant, au froc dont elle se fringue, ses seules fripes, comme une montgolfière ressemblant la voile d’une agélénidée qui déroule sa soie d’épeire, et produisant un phonème tel que celui fait par une manche à vent déchirée, cette mère regarde en arrière, venant du ciel au dos de mon esprit et flashant sur moi en me prenant la filoche); elle est dans l'aspect d'un théorème de binôme et en pastel saturé. Quand elle se rapproche, je rêve d'un donjonmoyenâgeux plein de la flouze (ou, au moins, avec une flopée de la fraîche, de ferraille) à foutre l’argent par les fenêtres... a-t-elle juste parlé ou a-t-elle seulement transmis ses pensées disant: -Ferme-la! Tais-toi! (pas cela la devise de la Franchecaille dans ces moments imprévisibles; cependant, des mots, ceux, que pourraient bien l’être)? Bon, je trouve bientôt un trimard (le trimard monte avant en face de moi et il me frappe au visage) vers une forêt magique vierge (et avec tout cela qui a besoin d'avoir des ronds: un taillis qui est construit et démonté et reconstruit toutes les nuits; une sylve équatoriale qui est comme un autel en bois dont le cadre post-et-faisceau semble être en marche patibulaire afin d’inciter le regard vers l’embarras du toucher, du goût, de l'odorat et de l'ouïe; un breuil qui ne sera jamais dévasté par aucun frigo de canard car ici la moiteur est protégée par les esclaffements des bons sauvages défunts qui jouissent maintenant une plus douce vie à l'esprit, une véritable foire d’empoigne, qui osent, à l'abri de la touffeur aussi, cavaliers se musarder là à poil glabre; un lieu en parties égales d'éveil et de sommeil où chaque layon trisse un entrelacement à la mercure? Malgré tout cela, je me flingue parce que je sens ici l’enfonçure démesurée d'un habitat pas encore la cohue de l'homme, comment il s'étire dans toutes les directions autour de la bulle fragile de notre foyer extérieur, un enchevêtrement de terrains de jeux fascinants, pas de tout flippants); et, pas trop écartés du chêne vert qui pousse là (un chêne barbu dont les articulations grincent chaque fois que mon voyant avertisseur est en baisse, car ce chêne-ci, dit le roi des arbres, qui maintenant ressemble, subtile et maritime, à la foudre qui l’a frappé, il deviendra le coude d’une chaise cassée, selon le crapaud de chêne qu’y habite), nous avons un frichti frugal à mettre dans le fusil, même si fait d’un fébou folichon puisqu’il est aux flagdas (aux flageolets). Tout à coup, ma propre rêverie, elle songe quelque chose: que je l’installe bien au-dessus la souche et que je la taquine avec la précarité de la laisser pieuter là-haut, sans rien dessous; donc elle commence à  varapper la maçonnerie polygonale de l’arbre, appelé le Coffre, toute seule; ainsi que je l’attrape et, de cette façon-ci, elle peut prendre rapidement sa phrase interrompue, bien qu’avec une voix qu’a une qualité humaine, et, par conséquent, inquiétante. Plus que cela: couvrant son visage, je constate un courrier électronique que renseigne: “Cette dame est un interprète entre les marsouins et les humains”, même si sa figure continue visible en dessous, et le monde est perçu par moi à travers cette image, ce que c'est comme regarder à travers un prisme. Exactement dans ce monde, je commence à créer des camps cachés dont un est dissimulé dans l’ouche le long d’une sente entre un appentis au fourbi et une grange qui est un foutoir, tous les deux pour y ranger de la foutre en poubelle vivante encore qu’elle est sur le flanc. Enfin je jette un oreiller contre elle, et cette action (imaginée) me ravive d'être plus flapi (je me réveille avec l’intuition que la paillasse renifle); oui, quand, sans flancher, je frappe le cauchemar, celui dernier commence à se dissiper; mais, voici aussi la besogne de l’inéluctabilité: je sens que je me désintègre également! Rédiger c’est, à l'encontre de cela, mon moyen d'y échapper sans cesser d’être: lorsque je sors de la couche ainsi, ils disparaissent eux seuls, mes phantasmes.Voici la fin des haricots foireux, j’y étant allé fort; mais dorénavant, devenu anticléricaux et un tout-petit (Areu!), j’ai envie de foutre par terre tout cela. 

Ce c’est glandilleux, crapahutant, mais je suis un guignol et, conséquent, je gaze bien par d'autres théâtres en dehors de cette France du ballet Béjart, de l’essayiste Péguy et de Joliet le prospecteur et des apôtres idolâtres qui sont dans la cathédrale de Chartres. Disons, dans ce moment je prendre du gallon en l’Atlantide où tous mes concitoyens les vampires (pas des les chauves-souris, mais des rossignols et des luscinioles) sont mes aînés (ou, plus exactement, plus sages que moi: pas des gagas; plutôt, des gones de Lyon, eux!); et aujourd'hui je m’écrase sur le moins vénérable et versé d'entre eux, un brigadier elfe tel que moi (seulement, jamais des gaffes de gnouf, nous!) avec qui je suis passablement au courant pour me blottir avec lui continuellement comme les humains le font (quels glandus!).

En effet, il est, ce gonze, l'un de ces confrères desquels je me soigne de la manière impénétrable aux gens tribales en général (surtout celles qu’encore emploient l’araire): cérémonielle et indirecte, comme les hydraires, et, nonobstant ceci, d’ailleurs, approximativement, comme celle des «jumeaux étoiles dont les rayons sont reliés». Par conséquent, je passe entre lui, mon giton, qui tire la queue de mon subconscient (lequel est un gros tigré qui ronronne) et encore, par son courbette irrévérencieuse et gonflée, lui fait des gouzi-gouzis; et un autre maréchal, un grand-dab Néandertal  qui réagit à cela en arrachant les yeux de son quartz informatisé et refoulant en arrière son trône à deux places pour poindre de lui (une guimbarde de titane rejointe par un démon de midi comme un ustensile de géhenne, et incrustée d'arabesques de platine et inséré avec des fioritures en aluminium gallois et serti de camées lapis-lazuli représentant des anges gniards, naïfs) et, tout de suite, faisant tomber la maison, parce qu’il y gambade avec un obus nucléaire fossile, antédiluvien, lequel il emploie en liteau toutes les fois qu’il n’est pas en train de glander de cette façon-ci, ni quand il visite ce balnéaire proche d’une moëre en Flandre. J’ai porté ma propre action dans le but d’avoir de la pensée de groupe avec eux afin d’arriver à des faux-fuyants logistiques contre les ganaches humaines au noir qui nous gâchent le métier magique puisque ces greluches, ces grognasses, sont tellement liées par leur héritage d'esprit rétrograde (les jihads, pas les Ennéades de Plotin). Or, aucun de nous trois expériences l’exigence (ou la faiblesse) de préciser que nous sommes des gros légumes, étant donné la dégaine concrète par le moyen de laquelle tout le monde retrace notre vicissitude sociétale dès lors que nous étions des glinglins jusqu'à nos jours: comment la vice-royauté aux elfes constitue une confédération très discernable de civilisations que les autres races et les extractions hétéroclites de la république aux fées font l'objet de taquinerie. Et, donc, de manière appropriée, moi, qui suis un farfadet, je doute de toutes les choses (comptant parmi elles les êtres humains et les cocasseries de notre planète commune). Ce dont je fais confiance c’est mes propres grappins, ma propre résolution et ma propre débrouillardise (je n’y inclus pas mon gadin, en admettant qu’il ne saisit que des pailles à la manière d’un homme qui se noie et essaie de rester à flot). Physiquement greumai, j’ai la gueule de l’emploi d’un prince, et même il se peut que j’aie bien un appas trépignant certifié à cause de la délibération dans ma galipette, sauf que mes guizots et mes godasses, oui, mes gambettes et mes godillots, sont dorénavant un peu gâchés par la gigote de notre aéroglisseur gros-cul (néanmoins, il y existe un savoir-faire sous ma dramaturgie de trucmuches non citadines, et ainsi ma coupe de cheveux, tellement distinguée, elle se bombarde, comme de mercure, en remorquage en permanence du guinche de mon gagne-pain, et ses follicules suivent le ton frêle de la mémoire inconsciente, tandis que ma queue de cheval s’en va vers quelque chose que c’est incontestablement un support de montage en embuscade). D'autre part, je suis extrêmement géant à l'intérieur: je bénéficie tous! En outre, après entrevoir n’importe lequel parmi eux duquel je puis me gargariser, je deviens finement conscient de cette éventualité: comment les eaux usées provenant de la force d'un être vivant se révèlent électrostatiques; plus que cela, j’en goûte quelque chose de bestial qui chevrote entre mes ongles. En fait, même si je me sens simplement à la manière d'un revenant: moite et incroyablement récente, néanmoins la caserne où nous résidons, la ville Toile de Fond, qu’elle c’est effarante! En conséquence, ici je mâche en bas de la chaleur (ou l'amour) qu’efface les ponts, comme une vague, dans ses artères et veines; je poursuis le ressac produit par la circulation des personnes mortes (des marionnettes elles sont!), étirée mince comme les vertèbres de quelque serpent à sonnettes non cordée, sur une certaine singularité faite d’immeubles qui leurs habitants, dans la ville précitée, insistent en qualifier de foutoir parce que c'est bien le Golden Gate: un pont entre l'atoll Ruta et l'îlot Daitya (le double volcan: les piliers de Melqart) sur le détroit de la Sonde, lorsque cette galerie, cette foule éteinte, engendre un vacarme le long de ses podiums en acajou; mais notre propre «gourbis» ( un trait d'ingénierie atypique conçu pour être habité: quelque chose que je n'ai jamais rencontré en norme établie!), nous donne la bienvenue car il est sombre en dépit de la lumière (Sagesse) sanguinaire à voir en plein air, tandis que les manches à air dessus celui-là vrillent et trament dans les embruns comme des planeurs vitaux qui menacent de nous gober et nous grailler, de sorte que nous avons besoin des remue-méninges dans la proximité du littoral Mesoterrané: une banque àCarrhes (la capitale) qui a été prolongée, sans s’en dévier, au cours des millénaires sur les talons de la gadoue chaque fois qu’une plaque tectonique après l'autre fut appelée hors de pergélisol afin d’en adopter pour des popotes et pour des café-concerts et pour des maisons closes et pour des vacances de luxe et surtout pour des entrepôts. Pendant les tournées des grands-ducs, un méli-mélo de toboggans navigue, le long des monorails glacés, en ruées d’heures de pointe, depuis notre taïga habitée jusqu'à le plan astral par l'intermédiaire des trous de ver. Soudain, mon partenaire le plus jeune roule une galoche correcte politiquement sur ma galure. Toutefois, ses doigts sont tièdes et moelleux quand, simultanément, il me serre fermement et doucement. Juste après, le repos éternel tombe (un repos éternel attentif, boutonné, puisque nous jaspinons plutôt flegmatiquement pour mieux comprendre les sylphides zéphyrs) tout en restant ensemble pour regarder la chute de paysage. En ce moment, le Néandertal, qui sans doute a un petit grain, il gueule comme un sourd: “Voici quelque chose aussi gros qu’une maison: tous les êtres humains toujours trouvent un moyen de faire avancer leur culture, et, tout de même, la plupart d'entre eux occupe leurs vies dans le petit entretien. Mais oui, certains rappellent qu’eux tous mourront; pourtant, aucun de ces glands ne réalise que il n'existe point de la vérité, seulement la gonfle, dans l’univers, ou ils en seraient givrés. Que cela me donne les grolles!”. Je suis d'accord solennellement (ouais, je hoche la tête galamment!) mais je ne réponds pas immédiatement bien qu’une rougeur de fruit arrive à ma figure à cause de mon gré sans désaveu de la droiture de sa glorification de nos cousins ​​humains, ces gales. Néanmoins, je ne peux  expliquer pourquoi des larmes en clair-obscur, pareilles à la tension de surface de l'océan quand elle est fouettée par l’ouragan, débordent mes yeux (mes mirettes gentilles envers les merveilles, et aussi opaques que la matière physique) avec les interrogatoires de troisième degré dont les dérivés pour les formuler me manquent, et je gueule comme un veau. En attendant, il examine les gamberges qui effervescent derrière mes prunelles concupiscentes;... peut-être ces œillades à moi se produisent à cause de mon pas être en mesure de gringuer avec lui, ce que je désespérément souhaitais? Et, quand enfin je lui réplique, l'instant où la parole est hors de mes crocs, je me rends compte combien incroyablement bovine je suis! Cependant, je réussis à celer hors de mon discours que, moi aussi, je garde envers les humains un chien de sa chienne. Au lieu de cela, je riposte avec un risette guimauve qui actuellement  s'avère être le ressouvenir reculé, quand il avait besoin de se grouiller, d'un autre rictus comme de vinaigre si peu frisquet qu’il était en mesure de cailler du yaourt pasteurisé, même si à l'heure actuelle ce c’est en gerbe infectieuse que je glaviote ma grimace. Pourtant, je ne parviens pas qu’un demi-sourire, quoique authentique, gondolant; et donc l'exaspération se rétrécit de sa gueule mal rasée (ce qui est bon, parce que, quand l'irritation surmonte, il se pose comme nuire au voisin -un acte qui est contraire à la compassion; et la mauvaise humeur produit une énergie qui se rapproche d'autres gens et des circonstances les obligeant à s'éloigner et à répondre en nature). Et c'est ce que je lui rétorque: “Gy! Par exemple, le gratin des Toltèques aime le sashimi tandis que ceux qu’y ne sont pas de la gotha préfèrent le cebiche. Vive la différence!” À cette minute, mon autre copain, le plus pubère, sans parler en joual retrace ainsi notre voisinage, le balnéaire placentaire et lutéal, le baptistère réouvert de Chartres: “Fichtre!, que l'éther c’est icigo croupissant! Pourtant, au centre de cette teneur de torpeur où autrefois les nephilim puèrent, un jouvenceau, en raccourci contre la fainéantise du potron-minet, est vu se ruer hors du rez-de chaussée. Ce gars, le vaguemestre, c'est moi; et, même si à cette époque le luisard n'est pas encore appréciable dans l’azur, mes hublots, mes mirettes, ils voient de leur lucarne. Eh bien, au point d'entrée de ledit trottoir, chez moi, à ma kasba, au javadarvin des allongés, des machabées à cause de le sras où je suis devenu esseulé grâce à mes petits-enfants quand j’ai cent ans (ce qu’a élevé mon esprit pour la pérennité, me chambardant dual, d'un mâle duquel les gens se détournaient en écoeurement, par un mec qui est applaudit planétairement parce que mon fur intérieur m'accorde la revendication et en conséquence je me trouve maintenant dans une toute autre existence que cette-ci et qui était jadis la mienne et laquelle est à nouveau patente,  autant que ma vie éveillée, et au sein de ce rêve je suis intercepté par une vitrine en verre ou je déniche une flaque d'eau pour y me reconnaître, citrine que je suis, sans mon aura, sans ma pèlerine), céans, où tout se passe hebdo et où nous atteignons une hauteur de peut-être deux mètres mais c'est limite vu que nous ne sommes que des loupiots, des moufflets, des mioches, des moutards pissés par marie-pisse-trois-gouttes, marie-couche-toi-là, voici que les nephilim, ils sont hypra hénaurmes, mastocs, des malabars maous... maison!  Et ils sont incollables aussi, ils ont recours à la justice biblique histoire de devenir des psychopathes dans leurs relations envers les hominidés(peu importe à quel point ces hominiens sont des mariocs, nous trois autres avons une capacité sans faille à nous placer sur leur longueur d'onde et à les amener à sourire un lippe: le nôtre est un moyen de savoir sans passer par l'intellect ou par les cinq sens corporels, pas comment nous trivialement connaissons les choses). Bien luné, j’aime la limer avec les manguches bruns de leur ligna, et je n’en ai pas un horloge jalmince non plus; et, puisque je ne suis pas mal-baisé avec ma toge, mais impec, bien léché,  je ne loupe le coche sinon que je fais mina-mina: pour cela il ne me faut pas me loquer; seulement m’harnacher d’une liquette, d’un loulou, d’un imper et des lattes. Et voici que, parmi eux les nephilim, car ils sont tellement infichus envers les hérissons posés par les jo-la-bricoles, leur lieute limoge tous les deux sortes de keufs: les kébours habillés et les hambourgeois. Puis, je m’enquiers: Ai-je rencontré ces personnes auparavant? Mais si, louivème! Avec, je suis fasciné par la facilité avec laquelle je suis en mesure de polémiquer avec cet ennui, ainsi qu’ils me présentent le paramètre des divinités dont les pouvoirs sont bien supérieurs à ceux des mortels: eux-mêmes, nos ancêtres… car je prends à coeur aussi l’espérance culturelle que les moins défavorisés, comme moi, ils sont les descendants des déités, étant donné que, même avant que l’altostratus ​​dit la rosace d'eau s'épaississent sur l'Atlantide dans les jours pré-déluge, avant que Deucalion Hasisadra (Utnapishtim), avec le lituus de Moïse, pilote son fils aîné, Melkisedek, à travers le seuil de son nouveau refuge, la Grande Boîte, le Minibus, lui enseignant: Le hantise est terminée, la reconstruction a commencé; bien que, si nous sommes censés, pour notre accroissement, d’éprouver un hasard ronchonne comme le déluge biblique, même savoir à l'avance d’un tel fléau ne pourra pas enrayer celui-ci de s’accomplir. Or, il est devenu une pratique courante pour les nephilim dans le Cymru, assiégé qu’il est par d'autres que par la progéniture de la déesse Daneel Olivah, d'envoyer leurs rejetons, tels que moi-même, à Teotihuacan, en accidentée Kauai, l'île jardin où les chamans sont allés en séclusion (ainsi qu’une pluralité d'déveines me fait rater mon rendez-vous avec la fossoyeuse camarde non pas une fois, mais deux fois: quand  l'enfoncement de l'Atlantide et à l'occasion du naufrage au Titanic). J’y dis à un mouton à cinq pattes: Tu réponds à toute instabilité soit à partir de la grâce ou soit à partir de la souvenance. La règle d'or ici est: si tu peux le sentir, alors tu peux le cicatriser. En outre, quand tu dis à quelqu'un: Je suis désolé; je ne voulais pas tomber sur vous!, il s'agit ici d'un manifeste falot; pas d’abjection y est impliquée. Mutchell! Je ne t'incendie pas d'être impair, mais, puisque ce que tu dis c'est inconnu au bataillon, et c’est de l'intox de surcroît, n'en demandes pas l'heure lorsque tu jaspines, tu qu'as tellement de la jactance quand tu laïusses, toi! Ainsi que, marche a l’oubli, ne mords que rien! Et maintenant, on ne se fait la malle! Comme je m'arrête pour récupérer mon souffle, le mouton à cinq pattes m'interrompt avec un bêlement laudatif et cette enquête étriquée: Que ce c'est imblairable! J'en suis hachès. Je ne suis plus capable que de la jeanfoutrerie. Je vais lézarder, et ne sera que plus tard, quand je n’en aie rien à foutre, que je vais mener une vie de bâton de chaise; mais, pour l’instant, je marre, j'ai les jetons: je suis un jeté, un hystéro, un halluciné, un hurluberlu. Toi, idem au cressom, tu es maboul et marteau; lui, au moins nunu; et elle, elle est une môule à gauffres!  Voilà, donc, l'état du jinjin qui est dans la hure placée sur notre kiki et nos mécaniques et nos mimines et derrière notre mouille, même si nous avons la bosse des maths... Je ne suis pas surpris par cette intuition du mouton à cinq pattes, ce qui prouve que c'est vrai son discours. Lui, c’est le Neanderthal. Elle, c’est une veuve de Lorient qui, pendant la Révolution Française, publiait un journal tous les jeudis, et laquelle méprisait la concurrence posée par l'hebdomadaire qu’un de ses apprentis avait commencé; et elle justifiait ses constatations quotidiennes. Mais le titre de son papier n'était pas Le Miroir de la Littérature, de l'Amusement et de l'Instruction, ni les Sélections du Reader's Digest ”.

Étant donné qu’après avoir sucré les fraises pendant des plombes (Les Couleurs du Temps, Les Feuilles Mortes…), cette rombière obèse succombe, est trépassée en ça fait une paye, 400 piges, cette meuf occase aux œufs sur le plat et le watrin (dont l’on demande du rab, car l’on en est raide dingue, et “Je l’aime à mourir", insinue Francis Cabrel), en étant donné, cette vioque devenue une Parigote donneuse de patins Sous le Ciel de Paris, elle ne peut pas jaser avec les vacheries et saloperies ci-après, et je ne sais pas non plus si elle aurait lâché de ladite façon savonnante si elle était en vie maintenant: -Je Suis La Solitaire, et, tézig, quès aco? Bon, les humains périssables et dodus, ces rois à mater, à passer par le plansichter, ne sont pas des raclures même s'ils persistent fourvoyés, ratte sur ratte, dans l’effronterie partouse de leur oua-oua, en ouvrant (turlupinés, ouille!) les grand yeux de Versailles (tout comme la chanson "Poussières de vie" le formule: "Je les ai vu dans leur abyme chercher le temps, chercher l'issue: ils attendent là, croyant savoir, plongeant encore plus bas"; et d’ailleurs Les Danakil: “Non, je ne regrette rien” -ces chanteurs en jumelèrent, sur ce viager séculaire); donc, obligado, les êtres humains n’atterrissent nulle part puisqu’ils ne jaugent rien sacral (sauf, plausiblement, l’oseille, parce qu’ils ont des oursins dans la fouille, ils sont radins, ils planquent leur came dans la banque, encore après qu’ils ont touché le pacsif et par conséquent ayant du pèze à nous prêter, ces rupins, “La Foule Sentimentale” de Alain Souchon), mais voici que ce c’est leurs oignons! Et, comme l'a miaulé Simone Weil d’une voix de peloteur de grand-mére aux rameux: Chaque hérésie est olpiche et l’unique vérité en dépit des imcompatibilités entre elles: c'est du kif-kif au-même, bien que je m’en paume. Et le polythéisme, lui-même en or, consiste d’une prévenance consacrée jusqu'à l'os aux nombreux moments hiératiques, quoique contradictoires, de la durée quelconque. D’autre part, dans notre propre doctrine tellement outillée, la religiosité elfique (“Connais-tu ce pays?”, quémande Ambroise Thomas et Michel Sardou lui rétorque avec une autre question de confiance: “Les Lacs de Connemara?”), puisqu’y nous sommes un tant soit peu plon-plons (principalement quand nous nous poilons), ouais, le lexie Dieu se manifeste, mais avec parcimonie et en aucun cas il est le Papa-Gâteau, car ceci serait polichon; et il nous lie au hyaline, leste lame inapprochable du Divin pour s’en rétamer, la sanie irrationnelle qui crible toutes les choses et nous transmute en des patraques… que ce c’est le pied!  Et, bien qu’ils sont également des êtres humains, des bardes nous apprenons à demeurer en état de soûlographie envers le céleste qui est tout autour de nous. Les contemplatifs réglos du genre humain identiquement partagent avec nous des grands mythes: par exemple, l'exposé simple du Bon Samaritain est surtout au sujet de redonner, ne plus pétant la forme, à quelqu'un qui est dans la gêne même si cette personne n'est pas dans notre champ de compassion… tu piges au quart de tour? Sinon, il te faut d’en reluquer, d’en zyeuter! Les anarchistes (Renaud: “Societé, tu m'auras pas!") nous apprennent à chérir les gens parfaits (mais pas les tabous ni les papelards, ouallou!); tandis que les brefs sacrés, que nous devons énoncer aristocratiquement tout cela ci-dessus. Et un alphapage cultuel est également fructueux, au moins por les pisse-menus, car l'esprit est le chaînon en nous qui veut que nous nous remontons; tandis que l'âme est son contraire: elle est nichée, sans en jamais pagetourner ou rebibocher nos ententes entichés, nos camaraderies impénétrables (cependant, les roupillons sont un attelage à marcher à côté des pompes sur le plumard, au-delà de soi-même, mais encore dans l'âme).  Quant à leurs mystiques poilus (il se peut que des talas, mais pas fatalement des souris de sacristie; mais L'Âme des Poètes), ils sont habitués à s’étirer au-delà de l'ego, ils ont l’oignon: ils ont de la concupiscence, et la concupiscence n'est pas gringalette; la concupiscence est la robustesse de la vie (et, tout comme la gravité régente la philosophie naturelle, de même il existe une modalité qui régit la concupiscence)! Mais tout l’autre monde aussi: Bergson a dit que la joie est la boussole pendant notrevalse-hésitation: la joie d'un veinard quand il a accompli son travail jusqu'à ce qu’il est vanné, devenu rapaplat; et, rebelote!, d'une mère vernie en élevant son polichinelle au-dehors du tiroir (“Avortement: de la douleur à l'espoir”). Ouah! Puissant et ric-rac, son dessein! (les desseins des lillippersonnes sont desseins sur ce dont ils ne goûtent pas; mais par-dessus tout, vous êtes un être qui sent, et les appréciations sont le carburant du dessein, ainsi qu’il s'avère inévitable de les traire, que vous en mettez le volume, parce que se sentir bien ne signifie pas se sentir juste correct. Pensez sans arrêt de toutes les aménités et amnisties dans votre existence!). Enfin, en dépit de tout, la barbarie décadent de la terre ne fait pas tintin à tirer, mais elle est un avantage éthéré, évaporé, mais bien calé, pas à rabibocher, car, après que l’on lui a passé le savon, l’évolution ici a fait la tchave: elle a pris, telle que les vététeux, la rue en levrette, y se ramenant rasibus, se radinant.



Me promenant [PAS UN RÊVE]

Publié le 14/09/2011 à 21:40 par pierrejacques811 Tags : chiens halloween anges google argent femme roman background chats nuit monde voyage
Me promenant  [PAS  UN  RÊVE]
  1. Le mois Ventôse, 2016 (l'an du singe), j'ai marché pour une journée avec les Amérindiens ou les personnes d'origine qui ont commencé un voyage à pied tout le chemin à Washington. Je marchais juste derrière le guerrier qui brandit le drapeau. Il était un ancien et il boitait. Quand je remarquai qu'il était sur le point de tomber je l'ai soutenu, et il m'a donné le drapeau à transporter. Plus tard, au cours d'un repos, un jeune garçon me pria pour le drapeau et je le lui ai donné.

Le surnaturel dans le cotidien [PAS UN RÊVE]

Publié le 25/08/2011 à 21:08 par pierrejacques811 Tags : chats vie moi monde background roman amour chez france travail dieu soi fleurs rose bleu voyage anges papillon cadres exposition
Le surnaturel dans le cotidien [PAS UN RÊVE]
  1. J'ESSAIERAI ICI DE DECRIRE CE QUE SE PASSE DANS MA VIE ET LEQUEL L'ON POURRAIT APPELER HYPER-NATUREL:
  2. PAR EXEMPLE, QUE J'ETAIS TRISTE PARCE QUE JE NE PARVENAIS PAS A TROUVER DES CHATS ICI, A LA VILLE AUX ANGES, MAIS QUE  MAINTENANT...  ILS SE MONTRENT PARTOUT, MEME A LA LOGE THEOSOPHIQUE ET CHEZ MOI, CEUX MINETS!
  3. AUSSI, QUE LA STATUE DE DAVID A LE CEMETIÈRE DE GLENDALE NE SEMBLE ETRE SI VIVE QUE LES CAILLOUX, MAIS JE SUIS SUR QUE CELLE DE FLORENCE L'EST.
  4.  Le 2015, j’ai passé un mois à la retraite dans le siège aux pères de la Charité (établie ici à Tijuana par la Mère Teresa) pour y étudier comment les auras des fidèles se muent après de reçevoir l'hôte. Or, le clergé de la paroisse demandait un certificat de ma confirmation catholique et, voilà!, celui que vous m’avez donné, oh, mon évêque catholique libéral!, était tout à fait valable (cependant, cette curie ne croyait pas que les anglicans et les lutherans jouissaient de la succession apostolique). En outre, l'on y écoute des histoires de Mère Teresa ne mentionnées jamais devant le grand public: par exemple, ses visites astrales chez le co-fondateur de ce monastère (il lui pourrait avoir dit: -Vous semblez comme si vous etes sortie d'un conte de fées, puisque vous dites: J’ai entendu deux fleurs parlant. Une s’écria: “J’en viens de remarquer mon parfum” … et j'ai embrassé un arbre dont les craquements étaient une causerie laquelle sonnait comme de la prière); et comment elle, avant de commencer sa besogne, envoya un mot à certains soufis, yoguis etc., leur demandant une bénédiction pour son travail, et qu’ils s'en sont montrés d’accord. Or, je ne pouvais plus continuer cloîtré sans voire de l’Internet même si une telle expérience était bien entendu de croîssance pour moi dans certains domaines, et plus, lors de cette ma récente retraite-ci, comment pourrais-je me profiter de tous ces chapelets ennuyeux (bien que je profitais de l'appel du cardinal Newman pour adresser mes profondeurs: “Pénètre et possède tout mon être au point que toute ma vie ne soit qu'une émanation de la tienne. Brille à travers moi et habite en moi afin que toutes les âmes qui entrent en contact avec moi peuvent sentir votre présence dans mon âme”)? Par le moyen de les changer en malas bouddhistes: le premier mystère est ainsi devenu pour moi la répétition de la phrase “Je suis moi (le Soi divin -c’est-à-dire, Dieu)"; le deuxième, "Je vois toujours Dieu dans toute autre personne, et j’agis en conséquence”; la troisième,”L'amour est la sensation du Soi divin dans nous, de façon que je vais l'explorer"; le quatrième, "’Mon esprit universel devient ma perception, chaque objet perçu par moi: je vais le suivre"; et le cinquième,”Tout choc émotionnel peut être utilisé comme un tremplin vers le Soi divin intérieur”. Quand même, pour y entrer, je dois porter la poutre transversale de la croix (et j’obtiens la première rose de celles données aux participants) parmi des maisons perchées sur les collines de Tijuana (tandis que les hommes construisent des villes confuses comme cette-ci, ici, le milieu de nulle part, devient le plus bel endroit d'aller) et suivant un embranchement ferroviaire et précédé par un papillon bleu mon rythme cardiaque au galop, les gens mesurant notre approche par les panaches de fumée de la marie-jeanne de quelques parmi nous, à savoir, le cadet, à qui j'ai vu un mois plus tard tellement mature. Le doyen, un Américain, nous montra comment se libérer du stress par le mouvement saccadé, mais maintenant il a été expulsé du monastère en raison d'avoir grondé à une religieuse. Enfin, j’ai quitté l'endroit, j'ai visité une exposition du peintre Remedios Varó, qui a fui de l'Espagne à la France et ensuite de la France au Mexique, et j'ai vu son écriture, et comme il aimait les chats, et son tableau de l'éveil de l'âme et la descente d'une étoile du matin tandis que d'autres dormaient encore, et sa toile sur l’osmose d’un vampire d'énergie d'une chaise, et son portrait d'un elfe qui, par le moyen de sa corne, créé un bâtiment octogonal, et j'ai adoré Mme. Varó!

    San Diego

    Le mois Ventôse, 2016 (l'an du singe), j'ai marché pour une journée avec les Amérindiens ou les personnes d'origine qui ont commencé un voyage à pied tout le chemin à Washington. Je marchais juste derrière le guerrier qui brandit le drapeau. Il était un ancien et il boitait. Quand je remarquai qu'il était sur le point de tomber je l'ai soutenu, et il m'a donné le drapeau à transporter. Plus tard, au cours d'un repos, un jeune garçon me pria pour le drapeau et je le lui ai donné.